J'ai vraiment déteste la façon de laquelle la presse préférait Obama à Hillary pendant le débat du Texas.
On a traité Hillary d'une vielle mégère qui embêtait les spectateurs du débat en pointillant sur les détails des réformes du système d'assurance maladie. Selon les médias, Obama avait l'air présidentiel car il dégageait de désinvolture et de l'assurance. Ses répliques courtes et sans détails aux questions qui lui étaient posées le rendaient charmant. A en juger par ces observations, la campagne électorale n'est qu'un concours de beauté. Le look, le sourire l'emportent sur l'intelligence et les idées.
Le train fait des pauses sans que le conducteur en explique la raison. Le mouvement agite l'air et son absence entraine une atmosphère étouffante où on a l'impression d'étouffer.Les yeux de passagers tournent et on halète. Un véritable cauchemar.