Scrawling Slowly

Les fois òu l'on entre une librairie pour passer le temps en feuillant des livres diverses, on ne s'attend à ce qu'on puisse tomber sur un événement. C'est exactement ce qui s'est passé avec moi il y a quelques semaines. Cette Fois Anthony Flint faisait un discours à propos de la crise du développement anarchique des banlieues. Ceux qui s'y connaissent en ce problème comprennent ces deux points essentiels: la circulation excessive et l'éspace public délapidée. Le premier problème arrive à cause de la distance énorme entre les domiciles et les centres commerciales. Puisque tout le monde se dirige vers le même centre commercial, une banlieue surpopulée sera accablée de voitures. Cette situation fait ralentir la vitesse moyenne de chaque chaffeur et allonge le trajet des tous. Le résultat; on passe de plus en plus temps à conduire. Le deuxieme problème résulte du premier. Pour alleger le fardeau de la circulation et des trajets lents, on bâtit plus de grandes routes. Cette construction réduit les espaces verts en les transformant en béton. La disparation de ces éspaces verts limite les activités possibles des residents. Faire du vélo et des randonnées devient de moins en moins possible. Même les éspaces vertes qui restent seront atteints par la smog qui sorte des grands-routes embouteillés.

Comment empêcher cette évolution des banlieues pleins d'éspaces verts en zones de béton? Il faut simplement batir centres commerciales centrales qui sont accessibles par un trajet court ou même par une marche courte. Cette mode du développement urbaine crée des tas de petits magazins. Pour ce que il y ait assez de clients, on construit les rangées de maisons petits dans les alentours. Une zone du shopping local ne rend pas nécessaire les trajets hors de la banlieue pour faire du shopping. Donc il n y pas des embouteillages sur les grandes routes tout le long du jour et il n y pas de besoin de construire plus d'autoroutes. A cette façon on préserve les éspaces vertes.

Mais la raison pour laquelle on ne construit pas des magazins locaux est liée aux préférences des consommateurs et entrepreneurs de l'immobilier. Ceux-là gagnent plus de bénèfice en vendant des terres vastes et ceux-ci y tiennent. Et c'est alors pourquoi tous les deux seraient contre la construction des magazins locals qui diminuaient l'éspace des propriétés. Les consommateurs trouvent une grande maison au milieu des auto-routes embouteillés et tout couvertes du béton mieux qu' une plus petite maison au milieu des éspaces vertes, des auto-routes sans embouteillage, et des magasins locals.